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Les mots du terrorisme

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Journalistes : Nina Di Battista, Laure Blachier, Thomas Le Hetet, Maxime Grimbert ; Montage : Nina D., Laure B., Thomas L. ; Site web : Maxime G - Master JGen 2016

Nous voulons vraiment remercier


Romain Badouard

Maître de conférences à l'UCP


Pierre-Emmanuel Guigo

Doctorant, enseignant à Science-Po


Hélène Filly

Journaliste à France Inter


Jean Marie Quémener

Rédacteur en chef à LCI


Emmanuel Fansten

Willy Le Devin

Journalistes à Libération


Antonin Chilot

Rédacteur en chef au Parisien


Claire Beyssade

Semiologue à Paris 8

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Les Unes post 13 novembre

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Dans la tête des journalistes

Parfois pointés du doigt, les journalistes vivent aussi l'évènement à leur façon. Ce qui peut expliquer différents choix dans le traitement de l'information.

Comment qualifier les auteurs des attaques ?

Les mots qui font peur


Barbares, fous, dégénérés, combattants, djihadistes ou encore kamikazes, les appellations sont nombreuses pour qualifier ces individus. Mais toutes sont-elles correctes ?

Le 14 Novembre, Manuel Valls apparaît sur TF1 pour une courte allocution et annonce : « Nous sommes en guerre ». François Hollande prononcera la même phrase deux jours plus tard, devant les parlementaires réunis au Congrès.​

L'urgence d'une union nationale

Dans les jours qui ont suivi les attentats de Charlie Hebdo, de l'hypercacher et de Montrouge, le choc a été immense. Mais pour montrer que la vie continuait, ils se sont rassemblés: sur la place de la république, le 11 janvier 2015, ils étaient 2 millions de citoyens à célébrer, ensemble la mémoire des victimes.

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Le risque de la stigmatisation